Les compagnies s’équipent !

De nouvelles normes entreront en vigueur en 2023 afin que les compagnies maritimes accélèrent la décarbonation de leur flotte. Actuellement, l’objectif fixé par l’OMI est la réduction de 40% des émissions de CO2 du transport maritime mondial pour 2030.

The congestion at the Le Havre TNMSC terminal makes it difficult to manage appointments and leads to an average waiting time of between 4 and 6 hours to load or unload road carriers.

La crise en Mer Rouge se poursuit et malgré la mise en place de la coalition militaire dirigée par les USA, les attaques contre les navires marchands continuent. Si certaines compagnies passent toujours par le Canal de Suez pour une partie de leurs navires, la plupart des armateurs ont suspendu tout passage par cette voie et privilégient le passage par le Cap de Bonne Espérance.

Chers partenaires,

Outre vos contacts réguliers avec nos équipes, nous avons pour objectif de vous informer par le biais de nos « flash news » lorsque la situation le nécessite. A cet effet et à la suite de la dégradation de l’environnement maritime ces dernières semaines, il nous parait opportun de vous adresser ce communiqué.

En effet, depuis quelques jours nous commençons à ressentir les effets de la « golden week », à savoir une réduction des capacités d’espaces des compagnies maritimes.

La situation se dégrade au fil des semaines pour le transport maritime sur le trade France -US (Est et Ouest). Avec une demande toujours plus importante et des capacités limitées, les prix s’envolent et avoisinent les 5 000$/40’ dry. Les principaux armateurs qui se partagent 86% des capacités depuis la France à destination des USA vont très prochainement officialiser leurs annonces de GRI (general rate increase), qui pourraient atteindre les 500$ / TEU (montant donné à titre indicatif à ce jour) au mois de Mars et plus encore à partir du mois d’avril.

Certains armateurs commencent à mettre en place une surcharge « Sea priority » qui serait de l’ordre de 1000 Usd / 40 H.C afin de garantir les embarquements.

Le transport maritime souffre encore de la Covid -19 sur le sol américain. Un grand nombre d’entreprises américaines de transport ainsi que les entreprises de manutention ont leurs effectifs touchés par la covid-19, ce qui provoque un embouteillage de navires à l’entrée des ports (délai d’attente en mer jusqu’à 15 jours).

Également, minimum 15 jours sont nécessaires avant de pourvoir sortir les conteneurs des terminaux. Il faut s’attendre également à voir venir des augmentations importantes au niveau des tarifs de livraison sur le sol américain ainsi qu’un allongement des délais de réalisation.
En fonction de l’évolution de la situation, que ce soit en termes de disponibilités d’équipements mais aussi d’espaces navires, il est probable que nous arrivions à la situation que nous avons connue sur le Trade Import Asie, à savoir un booking = un prix.

Les congestions portuaires aux quatre coins du monde laissent présager une pression sur les prix, les espaces et l’équipement jusqu’à la fin du premier semestre 2021

Il est essentiel d’anticiper au maximum les volumes exacts qui seront à expédier afin de limiter au maximum les engorgements et sécuriser au plus juste les espaces navires.

Il va falloir s’armer de patience et plus que jamais anticiper vos réservations ! Nos équipes restent à votre écoute et disposition pour vous accompagner au plus près

La douane internationale s’appuie sur trois piliers indispensables pour effectuer les opérations import et export : l’espèce tarifaire d’une marchandise, l’origine et la valeur. Défini à l’article 28 du Code des douanes national, le classement tarifaire est la dénomination qui est attribuée à la marchandise dans le tarif douanier commun qui comporte près de 15 500 rubriques de classement. Un classement essentiel pour toutes les entreprises opérant à l’international.

La baisse de la consommation, situation constatée depuis plusieurs mois maintenant, entraîne un surstockage notamment en Occident, la baisse des taux de fret mais aussi une offre d’espace sur les navires plus importante que la demande. Un contexte, qui oblige les compagnies maritimes à réagir.

Lors du transport maritime, la marchandise peut être soumise à de fortes variations de température, à d’importants mouvements à l’intérieur des conteneurs lors des manutentions et à des variations du taux d’humidité. L’emballage favorise la préservation de la qualité des produits et leur sécurité tout au long du transport. C’est pourquoi, il est important de choisir un emballage adapté qui supporte les diverses conditions de transport.

Face aux enjeux pour limiter le réchauffement climatique, la commission européenne a dévoilé en décembre 2019 son Pacte Vert Européen ou « European Green Deal », qui a pour ambition politique de rendre le continent européen neutre en carbone d’ici 2050. Le secteur du transport, et notamment le transport maritime, contribue largement aux émissions de carbone et fait donc partie intégrante du Pacte Vert. Des mesures sont donc mises en place pour s’adapter aux nouvelles règlementations. En découlera la taxe carbone, calculée sur chaque expédition maritime, à compter du 1^er janvier 2024.

La supply chain mondiale, actuellement encore très perturbée, est néanmoins marquée en cette rentrée par une légère amélioration du trafic sur l’axe Asie-Europe. En revanche, la congestion sévit toujours dans les ports d’Europe du Nord et des Etats-Unis et la Chine connaît un regain épidémique dans quelques-unes de ses grandes villes.

Face à l’envolée des cours du pétrole depuis plusieurs mois, arrivant ainsi au plus haut niveau jamais atteint depuis 2014, les compagnies maritimes vont appliquer à compter du 1er juin des « surtaxes temporaires d’urgence » impactant ainsi le prix du transport.

Acteur majeur du transport international, Balguerie vous propose ses services logistiques vers les DOM-TOM en maritime et en aérien pour toutes marchandises y compris marchandises dangereuses.

Depuis 1990, les incoterms sont révisés tous les dix ans et la dernière version est en cours d’élaboration au sein de la Chambre de Commerce Internationale (ICC) pour être diffusée au cours du dernier trimestre 2019 et entrer en vigueur au 1er janvier 2020.

Avec plus de 25 ports internationaux répartis sur 19 pays et autant d’aéroports internationaux, les infrastructures sont propices aux échanges mondiaux croissants notamment entre l’Amérique Latine et l’Union Européenne, dont l’accord de libre-échange revient dans les négociations.

Plus 6% de marchandises exportées et +19% de produits agroalimentaires entre 2018 et 2021, l’Union Européenne est le troisième partenaire le plus important du Japon dans les échanges de marchandises. Un marché qui n’a cessé de se développer depuis l’accord commercial UE-Japon entré en vigueur le 1^er février 2019.

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Partenaires privilégiés en termes d’expéditions de marchandises, l’UE et les USA entretiennent la plus importante relation bilatérale et représentent un tiers du commerce mondial (échanges de biens et services). Les produits agroalimentaires et pharmaceutiques comptent parmi les plus importantes exportations vers les USA.

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